Gardner en recense, dans cet ouvrage, 7 :

• Bien sûr, l’intelligence logico-mathématique, celle des calculs et de l’abstraction
• Bien sûr aussi, l’intelligence linguistique, celle des mots et de la poésie
• Mais aussi l’intelligence musicale, celle des sons et des rythmes
• Mais aussi l’intelligence interpersonnelle, celle des relations avec les autres, de l’empathie
• Et son associée l’intelligence intrapersonnelle, celle qui permet de se comprendre et de progresser
• Plus encore l’intelligence visuelle et spatiale, celle de la géométrie et des positions dans l’espace
• Et enfin l’intelligence kinesthésique, celle du corps et des mouvements.

Quel soulagement : on peut être nul en math et pourtant excellent en relationnel ou en sport ! Vive la diversité, à bas le QI.

Ce livre n’est pas très utile dans la pratique. Mais il permet de comprendre que chaque forme d’intelligence peut se travailler, se développer. C’est particulièrement important pour les intelligences intra et interpersonnelles, si fondamentales dans notre vie privée et professionnelle.

Si vous le lisez, demandez vous quelles sont vos intelligences les plus fortes, et si cela vous est inné ou a été acquis par le travail ou la pratique. Posez vous la même question pour votre conjoint, et comparez. Vous verrez, c’est fascinant.